Je voulais vous dire…


Un blog qui parle de politique, de social, d'environnement... De la vie quoi!


mercredi 25 novembre 2009

Merci Cécile !

Hier, dans un commentaire sur le fil de « Le Téléthon, pompe à fric pour les gogos », Cécile me faisait, nous faisait, la remarque suivante :
« D'ac avec toi Gwen... Vais pas revenir sur ce qui s'est déjà dit... Toutefois ça m'énerve un peu tout ça… Les rédactions, les blogueurs tombent dans le piège: La grippa, la main de Thierry, Bergé etc... Et pendant ce temps, la merde se répand allègrement par tous les interstices de la vie du peuple passif et manipulé...*_* »

Ce qu’il y a de bien avec Cécile, c’est que non contente d’écrire de merveilleuses histoires. Non contente de nous apporter un peu de poésie dans ce monde de brute, Cécile est une femme qui sait mettre les choses en perspectives, et sa petite remarque postée en début de matinée, a eut le don de me faire réfléchir une bonne partie de la journée…

A un point tel que je me suis dit que j’allais vous en parler aujourd’hui. Ben oui, il n’y a pas de raison que je sois le seul à réfléchir, et ce blog est quand même un peu fait pour ça… Donc, je crois que l’on pourrait commencer par se poser la question suivante : Lorsque nous réagissons à l’actualité brulante, sommes nous manipulés ?

La première réponse qui me vient à l’esprit, et probablement parce que je suis un infâme gauchiste légèrement paranoïaque et relativement instruit, c’est oui. Oui nous sommes manipulés, oui je suis manipulé.

Mais en même temps, j’ai envie d’ajouter que nous le sommes tous et que c’est même à la rigueur normal… Normal, dans le sens de logique, pas dans celui de « cela est bel et bon ».

Depuis quelques jours, les faits d’actualité nous sautent à la gueule comme des flashs, sollicitant de notre part colère, jubilation, interrogation, et réponses immédiates. Le problème d’éthique que soulève la main de Thierry Henry, la pandémie de grippe A, la polémique sur le Téléthon… Tout ça nous accapare au jour le jour. Nous sommes dans la réaction instinctive, et non plus dans la réflexion. Nous sommes dans l’émotion, et non plus dans l’action.

A ce niveau, j’ai envie de dire que là encore c’est normal. L’être humain est un animal qui fonctionne à la fois avec sa réflexion ET avec son émotion. L’un ne va pas sans l’autre et heureusement. La réflexion froide sans une once de cœur ressemblerait bien trop à du pragmatisme, et vous savez que j’ai ce concept en horreur. De même, si l’on se laissait aller à ne réagir qu’avec le cœur, nous serions certainement tous mort avant la fin de journée. Donc, et c’est là que la remarque de Cécile devient importante, il convient, je pense, de bien doser ces deux éléments.
Connaissant donc la nature humaine, il devient alors tentant pour un gouvernement de créer la réaction afin de juguler la réflexion et l’action. C’est une pratique à laquelle ce gouvernement nous a habitués, et il en use fréquemment sous la forme de diversions savamment orchestrées.

Mais tout n’est pas de son fait… L’histoire de la qualif de l’équipe de France par exemple est un événement fortuit qui a crée une réflexion et un buzz important, et je ne pense pas que Sarko soit derrière tout ça quand même ! (Non ?)

Alors oui, la richesse de l’actualité peut faire que nous nous focalisons sur un événement qui nous parle plutôt que sur un autre. Oui, d’autres choses se passent pendant que nous regardons notre nombril…

Mais qu’y pouvons-nous ? Pensez-vous qu’il soit aisé de toujours remettre en perspective un événement ? Ce genre de chose se fait à tête reposée, lorsque le tumulte s’est éteint.
Et puis, ne pensez-vous pas que si l’on passait son temps à relativiser les choses à outrance, celles-ci passeraient alors inaperçues ?
Je veux dire par là que l’on peut toujours trouver plus important. On peut toujours trouver plus grave qu’une polémique sur la charité-bizness ou qu’une bisbille sur une petite phrase. Un enfant meurt de faim toutes les six secondes, une femme meurt sous les coups de son compagnons tous les deux jours, un dixième du budget de Microsoft sauverait la faim dans le monde… Oui c’est vrai, on le sait tout ça… Et ce n’est pas parce que l’on réagit sur le moment à un événement qui n’aura que peu d’importance dans dix ans, qu’on l’oublie pour autant.

Pour ma part, je pense qu’il faut savoir faire la part des choses. Il y a d’un côté les événements quotidiens qui recèlent une réflexion ou un intérêt général (comme le Téléthon), et les grandes questions politiques et philosophiques de ce monde.
Les deux sont interconnectées, bien sûr, mais je pense qu’elles doivent être traitées indépendamment.

Un article sur le buzz du moment est une chose, et un autre sur le fond en est une autre. Et les deux ont leur importance. Le tout étant de ne pas privilégier l’un au dépend de l’autre…

Je ne sais pas si ces quelques mots vous aurons aidés en quoi que ce soit, ni même si je me suis suffisamment bien exprimé pour vous faire comprendre ma pensée… J’écris ça un peu comme on lance un débat et j’attends de vous que vous m’apportiez votre analyse et votre propre questionnement…
En tous cas, le fait est que la remarque de Cécile m’a fait m’interroger sur mon rôle de blogueur et sur mon rôle de citoyen militant. Et en cela, je lui dis : Merci Cécile !

20 commentaires:

2Casa a dit…

Salut Gwendal,

Merci pour ce texte qui rejoint évidemment mes interrogations de blogueur stérile et de réactionnitude épidermique.

Qu'est-ce que je fais de concret - vraiment concret - à part me la péter sur le ouaibe ?

(C'est une image, encore que, faut quand même une sacrée dose d'hypertrophie de l'ego pour prétendre intéresser quelqu'un avec ses divagations nombrilistes : c'est plus flagrant chez moi que chez toi, par exemple...)

C'est sans doute la différence que je cherche à établir entre info/communication ou l'équilibre à trouver entre les deux.

A propos d'infos : d'où viennent celles que nous commentons avec tant de hargne ? 4 agences pour l'occident si je ne m'abuse (Reuters, AFP, et 2 amerlocks) ça fait pas lourd quand même. On a tous entendu parler des changements dans l'AFP récemment. De quoi laisser rêveur quand même, non ?

La notion même d'actu (bien mise en scène par le flux temporel qui anime chaque blog : demain chasse hier, qui chasse... etc.) Quelle persistance ? Quel profit - euh ? - réel en tirons-nous ?

Première note optimiste : sans doute une forme "d'éducation intellectuelle" à la critique, à la lecture des médias justement, ce qui manque un peu dans l'Ecole, au passage.

Mais qui "fait" ou décide de "l'actualité" ? De ce qui mérite d'être soulevé, discuté, remarqué, même, seulement ? Dans une infinité de faits pourquoi retenir ceux-là ? Et pas d'autres ? Aaaaah l'agenda. D'accord. Le choix lui-même est manipulé, filtré, à tout le moins.

Petit bémol depuis internet : parfois le "buzz"... Mais qui, pourquoi, de quoi ? Mmmmmh.

(A suivre)

2Casa a dit…

(Et fin)

Ou des sources alternatives, rares, quand même, nan ? Mais c'est un phénomène nouveau ou qui prend de l'ampleur grâce au net (pourvu que ça dure !) d'où le danger qu'il représente sûrement, à sa modeste échelle encore.

Ne penses-tu pas que les pros de la com' politique ont déjà bien anticipé le phénomène et instrumenté ad hoc ? (On notera la discipline quasi militaire des groupuscules bannis des médias mainstream et la dimension stratégique de leur action sur le ouaibe : avancer masqué le plus souvent, envahir les forums, poser des jalons (tu peux te reporter à notre brève discussion de l'autre jour sur la "linéarité", il se trouve que je retrouve des arguments propres au FN là-dedans, par hasard. Nous sommes des cibles idéales : vernis de culture, avidité de connaître, posture de celui qui soupçonne d'entrée... J'en passe.)

Vois les classements, les recensions (vendredi et d'autres) si c'est pas la technique privilégiée de normalisation du discours - Tu veux en être ? Sois publiable. (Et on finit chez Libé !!! Pire, chez Charlie...) – ben, je ne sais pas ce que c'est. On offrira donc une vitrine à ceux qui sont présentables. Bref, on se mord la queue. Tant de souplesse c'est proprement stupéfiant.

Sommes-nous les idiots utiles - la caisse de résonnance (hélas ! pas de "raisonnance") de la politique spectacle ?

Franchement, je pense que oui. (Et je m'inclus dedans très largement)

Mais, mais, mais... Comme tu as lu l'excellent petit texte de l'excellent Galeano dans l'excellent Diplo, tu sais que nous sommes peut-être les canards qui ouvrent la voie : pas plus cons que les autres, mais pas supercanards non plus.

En attendant de passer le relais à des formes plus abouties, plus organisées, plus concrètes.

Non ?

Pseudo a dit…

Ah c'est clair qu'il y a le fait que certains pensent etre "hors systeme" etre critique, envers celui ci etc etc

Mais comme le dit Chomsky en gros, si ils l'étaient vraiment, ils ne seraient plus là ou ils sont.

Les medias et l'information est un business, dès lors celui qui veut faire carrière, rentre gentiment dans le moule et plus simplement, ne monte que ceux qui sont deja moulé.

2Casa a dit…

Tu f'rais pas de l'entrisme Pseudo par hasard ? Groupuscule, va !

Gwendal Denis a dit…

Scusez-moi pour le retard, j’ai été absent…


@2Casa : Ouf ! Je m’attendais à ce que la question soit créatrice d’autres questions, mais peut-être pas à ce point-là, ni toutes en même temps… Bon, on va essayer de faire le tri.

Les blogueurs à l’ego hypertrophié et nombrilistes, ok pas de problème. C’est d’autant plus vrai que le côté journal intime côtoie l’information et lycée de Versailles. La différence que je vois entre toi et moi, c’est que de mon côté je l’assume pleinement. Je regarde le monde avec mes yeux et je vous raconte ce que j’y vois. Par bonheur, je me suis rendu compte que ce que je racontais plaisait… à une demi-douzaine de personnes. Et bien rien que ça, ça justifie de continuer (en ce qui me concerne en tous cas). Le reste, les autres, c’est juste du rab.

Sinon, je pense qu’on fait comme le canard moyen. On réagit à ce qu’on nous donne à manger. Des fois on devine que c’est du réchauffé ou de la boite, et des fois on gobe tout sans rien deviner… Mais c’est vrai qu’avec le temps le canard il apprend à faire de plus en plus le différence et ça c’est bien. Pour lui et les autres canards.

Bien sûr, les vendeurs de boites pensent nous avoir tout le temps, c’est leur boulot. Mais des fois ça marche et des fois ça marche pas. Et puis il y a le temps qui s’en mêle. Pas le temps qu’il fait, mais le temps qui passe. Le hasard des choses aussi. En fait, il n’y a pas plus humain qu’un blogueur. Ca veut dire qu’il n’y a pas plus con, mais aussi qu’il n’y a pas plus Humain avec un grand H. Et c’est peut-être pour ça que les blogs plaisent. Parce qu’ils sont humains, pour le meilleur et pour le pire.

Alors, il y a aussi ce problème de compétition, de classement, de reconnaissance par le plus grand nombre… Moi, je commence à en revenir. J’ai changé mes pratiques pour arriver à me hisser dans le top 100, mais cet effort commence à me couter beaucoup plus que la satisfaction que la place m’apporte. C’est très perso comme situation…
Finalement tu as raison, nous sommes peut-être les canards qui ouvrent la voie : pas plus cons que les autres, mais pas supercanards non plus.

@Pseudo : D’accord, certains le pensent et moi aussi d’ailleurs… Parfois. Mais c’est justement les remarques comme celles de Cécile qui remettent les pendules à l’heure. Et ça c’est bien.
Le tout étant justement de refuser d’entrer dans la carrière…

@2Casa : Ouais, Pseudo c’est un groupuscule à lui tout seul !

2Casa a dit…

Hello Gwendal,

Bon, même binz que la dernière fois avec le commentaire (ça a pourtant marché ce matin !) qui de toute façon était encore un peu long (sic) Je l'ai mis en com dans le post du jour si ça t'intéresse.

Bonne soirée. (C'est pas la foule hein ? Et notre groupuscule il est où ?!)

Pseudo a dit…

Là.

:p

2Casa a dit…

Arf !

Monique a dit…

Vous parlez,2Casa et Gwen, de plusieurs choses à la fois et c'est un peu confus, à mon sens.
Sans doute parce que vous êtes "dedans" avec vos blogs et que vous n'avez pas toujours le recul nécessaire pour l'analyse "à froid".

Il y a d'abord la question de l'information : qui la diffuse avant le blogger de base ?
Oui, 4 ou 5 agences dans le monde occidental..
Donc premier "tri" qui peut être manipulatoire par définition. Difficile à déterminer.

Ensuite, il y a ceux qui la relaient et la commentent : 2ème filtre subjectif.
Puis, il y a ceux qui commentent le commentaire de...( moi, par exemple et tous les visiteurs de vos blogs) il arrive aussi qu'ils transfèrent ailleurs...encore un choix subjectif.
Je ne prétends pas que l'info doive être objective: c'est irréalisable.
Ou alors ce n'est pas une info mais une brève laconique . Exemple : 20 morts dans un attentat à New Delhi.

Et on ne nous rappelle pas tous les jours les gosses qui meurent de faim, le SDF qui crèvent de froid, les femmes tombées sous les coups, pas même le nombre de torturés dans le monde etc...
Alors, le dernier évènement en date fait le buz.

Si l'on veut le relativiser et le remettre "à sa place", il faudrait avoir un compteur dans un coin du blog, qui affiche en permanence les joyeusetés chroniques de ce monde...

La deuxième question est :
Qu'est-ce qui fait la différence entre vos blogs et les canards institutionnels ( y compris ceux du net)?
Et bien, justement, une autre dimension, qui est celle du journal intime. Ou l'on a envie de dire son mal au pied, son envie de rester coucher, son spleen ou sa pêche du jour.
Moins cher que le téléphone, c'est la bouteille à la mer dont on sait qu'elle sera ouverte très vite. Et que quelqu'un répondra tôt ou tard.

Vient ensuite la question d'écrire tous les jours...? De se sentir obligé pour X raisons de nous mettre quelque chose sous la dent ?
Pour moi, Gwen ,pas de problème, tes articles ou tes billets d'humeur sont des fils qui tissent des liens, jour après jour, me permettant de te connaître mieux, parce que nous avons déjà une vraie relation amicale.
Mais faut-il s'attendre à ce que ça intéresse tout le monde ?
Dois-tu en faire un challenge ?
Je n'ai évidemment pas les réponses.

Je n'ai pas de blog parce que justement, je le vivrais comme une contrainte de plus.
Mais je suis accro. à ces liens intimes.

Alors, je fais le coucou et je vais picorer dans le nid des autres ( la preuve !!)

Monique a dit…

Pardon pour la longueur, je me suis laissée aller...

Pseudo a dit…

Ca me semble plutot juste mob' je crois.

Le truc, c'est de tenter de le faire vraiment comme on le sent, comme on en a envie, l'envie, surtout, pour moi sans envie, ca vaut ne pas grand chose.

Alors a la limite ca peut etre n'importe quoi, ca peut etre rien même, mais une vraie touche d'envie et de freestyle est toujours bonne.

cazo a dit…

Ah ça... pour être manipulés... on l'est + + !!

Quotidiens et grands medias appartenant à des proches du pouvoir ou soumis au pouvoir, rédac chef triant ce qui doit être mis en exergue, comment (choix d'une sémantique appropriée, d'un point de vue, de témoignages appropriés, bidonnés s'il le faut...), par qui, et à quelle heure, etc.

Maintenant, il y a ceux qui consomment de l'info et ceux qui cherchent l'info. Les premiers construisent leurs opinions en réaction aux thématiques qu'on leur sert, les seconds s'informent et construisent ensuite leurs opinions.

Les premiers, majoritaires, constituent cette opinion publique, réalité partagée à partir de la soupe du menu concocté dans les cuisines du pouvoir et qui leur est servie à heure régulière par des passeurs de plat serviles, comme on nourrit le bétail chaque jour.

Les seconds veulent choisir ce qu'ils avalent. Cela ne signifie en rien qu'ils aient du goût, qu'ils soient gastronomes ou de bons cuisiniers eux-mêmes. Et compte tenu des officines de restauration informative alternatives proposées par le ouèbe, par quelques journaux, ils arrivent à assouvir leur faim.

Malheureusement, leurs choix marginaux en matière de cuisine informative et autres salades journalistiques ne leur permet pas toujours de partager leur plaisir gustatif avec tout le monde.

C'est pourquoi, lorsqu'ils ne peuvent se réunir autour de quelques tapas médiatiques, ils se retrouvent régulièrement dans quelques tavernes ouébiennes, où l'on sert encore de l'info sans édulcorant ni pesticide, des morceaux de choix de toute première fraîcheur et servis dans leur jus.

Enfin... il me semble !!

Gwendal Denis a dit…

Ouaiche bébé ! Balance le com’ !

@2Casa : Bon, je te réponds direct sur ton blog comme ça les autres seront obligés d’y jeter un œil… Solidarité et partage !

@Monique : C’est vrai que notre situation de blogueurs nous place dans une position difficile. A la fois juge et partie en fait. Mais notre situation n’est pas si différente que celle du quidam qui à sa manière reçoit une information (quelle qu’elle soi), la digère et la retransmet. Que se soit près de la machine à café au bureau, au bistrot ou devant le gigot-flageolet du dimanche.
Un vieux mentor à moi disait qu’en plus des biens connus savoir-être et savoir-faire, il y avait le faire-savoir.
Personnellement et avec plus ou moins de bonheur, j’essaye de cultiver cette qualité-là.

Comme tu le rappelles Momo, c’est la dimension intime du blog qui est à la fois son défaut par rapport aux médias traditionnels et son alibi. Son défaut parce qu’il se dispense de la rigueur professionnelle du journaliste, et son alibi parce que justement c’est le côté perso du prisme qui en fait l’intérêt. (J’suis clair ?)

Et arrête de t’excuser pour les longueurs, sinon je vais me fâcher !

@Pseudo : Tu as cent fois raison ! Et c’est ce que j’essaye de me répéter tous les jours. Le plaisir avant tout.

@Cazo : J’adore ta métaphore. Cela fait un petit moment que je cogite sur la question et je ne suis pas le seul. Si l’on reproche au blogueur d’être « endogame », et de surestimer grandement son influence, le questionnement a au moins le mérite d’être sain.
Un lien utile http://novovision.fr/?Internet-est-il-la-voix-du-peuple, permet d’y voir un peu plus clair et de relativiser tout cela.
C’est tellement complet que jusqu’ici je n’ai pas encore eut le courage d’en faire la synthèse…

Gwendal Denis a dit…

J’y pense… Elle est passée où ma muse ?

2Casa a dit…

Hello,

Merci Monique pour ce commentaire roboratif.

Et aux autres aussi.

Désolé pour le squatt vers "chez moi" mais je galère avec blogspot une fois sur deux (en revanche j'ai retenu la leçon et je fais un brouillon !)

@ Gwendal : elle a l'air plus sexy que la mienne de muse ! Complètement d'accord avec l'article que j'avais moi-même cité déjà pour relativiser l'enflement de l'ego globosphérique.

Peut-être que la contrepartie de la "prétention" c'est "l'exposition" donc le risque (parfois c'est dur internet, ingrat, hâtif dans ses jugements, violent même...) et comme pendant de la reconnaissance il faut le porter aussi.

Bonne journée à tous.

Gwendal Denis a dit…

@2Casa : Je me demande d’ailleurs si ce n’est pas chez toi que l’ai récupéré…

Sinon oui, je confirme : Cécile est sexy. Ce qu’elle écrit est sexy, ce qu’elle dit l’est aussi, et donc le reste de sa personne l’est forcément aussi…

Monique a dit…

Tu peux me donner l'adresse du blog de Casa ?
j'ai oublié son titre ..
merci

2Casa a dit…

@ Monique :

Bonjour,

En fait c'est peut-être parce qu'il change tout le temps (pour brouiller les pistes !)le contenu restant identique à chaque post.

Toujours faire dans l'original ;)

Bon courage.

Gwendal Denis a dit…

Merde ! Je n'ai pas posté mon com au bon endroit !
(Pas grave elle trouvera quand même...)

Monique a dit…

Et oui, elle a trouvé !!
Et je suis allée aussi visiter Casa..