Figurez-vous que j’ai des devoirs à faire… Yep ! Je dois pondre un truc pour mon atelier de réinsertion, et je dois le rendre demain… Et manque de bol, je sèche complètement.
Oh, ce n’est pas que je ne sais pas quoi dire, mais plutôt que je ne sais comment le dire. Aussi, comme c’est un truc qui marche habituellement, j’ai décidé de vous en toucher deux mots histoire de trouver l’inspiration.
Il s’agit de mettre sur le papier mon « Projet » professionnel. Ouais ! Rien que ça ! Il faut que j’arrive à ordonner les petits cubes de ma vie de façon à ce qu’ils forment une espèce de mur… Enfin, un truc qui tient debout quoi !
Encore une fois, ce n’est pas que je n’en n’ai pas de projet… J’en ai même plusieurs. C’est juste dans la façon dois il va falloir que je l’exprime qui me gène.
Et puis il y a cette histoire de Lepage que je n’arrive pas à extirper de ma tête… Mais si, rappelez-vous ! C’est dans le spectacle Inculture que je vous ai présenté l’année dernière… Non ? Ça ne vous dit rien ? Bon, ce n’est pas grave, vous n’aurez qu’à aller jeter un œil quand vous aurez le temps.
En tous cas, à un moment, Franck Lepage nous relate une petite expérience qui, pour moi, est assez révélatrice du monde qui nous entoure.
Un jour, des chercheurs, des sociologues cryptocommunistes j’imagine, ont décidé de tenter une expérience sur le langage et l’évolution de celui-ci dans le temps. Pour ce faire ils ont compilé une flopée de manuel de management (90 pour être précis) des années 60 qu’ils ont introduit dans un ordi pour voir quel était le mot le plus souvent utilisé… Et ce mot, était « Hiérarchie ».
On peut donc dire que dans les années 60, le mot qui, sans vraiment le définir, pouvait être considéré comme l’expression du capitalisme dans ce qu’il a de plus didactique était donc « Hiérarchie »…
C’est quelque chose que l’on eut comprendre ça, la hiérarchie. C’est la base même de la structure capitaliste, et elle est même je dirais, sa raison d’être. Elle induit même la notion de lutte des classes, puisqu’elle définit forcément des dominants et des dominés. Des patrons et des ouvriers. Des exploiteurs et des exploités.
Ces mêmes chercheurs ont recommencé l’expérience avec des manuels de management des années 2000… Et ils se sont aperçus que le mot « hiérarchie », avait complètement disparu des manuels ! Pas une seule fois ce mot n’était cité !
Et devinez par quoi il avait été remplacé ? Quel était en 2000 ce mot qui revenait le plus souvent dans ces livres ? Je vous le donne en mille… C’était le mot « Projet » !
Pourtant, que je sache, la hiérarchie n’a pas disparue de l’entreprise. Elle est toujours là, avec son cortège de contraintes, ses petites humiliations quotidiennes, ses pressions psychologiques. On pourrait même dire qu’avec la financiarisation de l’économie, la course aux profits qui s’est accélérée, elle est même certainement encore plus présente qu’il y a quarante ans…
Et Franck Lepage d’ajouter que si on ne nomme plus cette hiérarchie, on ne sait alors plus la penser… Et si on ne sait plus la penser, on ne sait plus la combattre.
La hiérarchie, l’ossature du capitalisme n’a pas disparue, elle a juste changé de nom. Elle est devenue quelque chose de vachement plus positif, quelque chose d’imparable, elle est devenue un projet. Elle s’est déguisée en volant un mot et en changeant sa nature optimiste
« Nous estimons que les jeunes doivent avoir des projets. Nous disons de certains jeunes qu’ils n’ont pas de projets. Nous estimons que les pauvres doivent faire des projets ! Les gens le plus en difficulté, pour se projeter dans l’avenir, on leur demande des projets !
Les seuls à qui on ne demande pas de projets, ce sont les riches. »
Ça c’est du Lepage dans le texte… Et il ajoute « Nous estimons qu'il nous faut avoir un « projet de vie ». Manifestement « vivre » ne suffit plus ! »
Aussi vous comprenez pourquoi je suis un peu embêté lorsqu’on me demande de mettre noir sur blanc mon « projet de vie » à moi… Je suis embêté, parce que je n’ai absolument pas envie de me faire avoir par ce mot.
Et pourtant, il va bien falloir que je m’exécute si je veux jouer un minimum le jeu et ne pas perdre mes maigres subsides… Et c’est bien là qu’on voit la perversité du système puisque celui-ci me force à avoir un projet, là maintenant tout de suite, alors que j’aurais volontiers attendu encore un peu avant de me lancer…
Bon allez… Il faut que je m’y mette. Je me disais que le fait de vous raconter cette histoire allait me permettre de trouver l’inspiration, mais je m’aperçois que c’est loin d’être gagné… Très loin même !
Bonjour chez vous !
Oh, ce n’est pas que je ne sais pas quoi dire, mais plutôt que je ne sais comment le dire. Aussi, comme c’est un truc qui marche habituellement, j’ai décidé de vous en toucher deux mots histoire de trouver l’inspiration.
Il s’agit de mettre sur le papier mon « Projet » professionnel. Ouais ! Rien que ça ! Il faut que j’arrive à ordonner les petits cubes de ma vie de façon à ce qu’ils forment une espèce de mur… Enfin, un truc qui tient debout quoi !
Encore une fois, ce n’est pas que je n’en n’ai pas de projet… J’en ai même plusieurs. C’est juste dans la façon dois il va falloir que je l’exprime qui me gène.
Et puis il y a cette histoire de Lepage que je n’arrive pas à extirper de ma tête… Mais si, rappelez-vous ! C’est dans le spectacle Inculture que je vous ai présenté l’année dernière… Non ? Ça ne vous dit rien ? Bon, ce n’est pas grave, vous n’aurez qu’à aller jeter un œil quand vous aurez le temps.
En tous cas, à un moment, Franck Lepage nous relate une petite expérience qui, pour moi, est assez révélatrice du monde qui nous entoure.
Un jour, des chercheurs, des sociologues cryptocommunistes j’imagine, ont décidé de tenter une expérience sur le langage et l’évolution de celui-ci dans le temps. Pour ce faire ils ont compilé une flopée de manuel de management (90 pour être précis) des années 60 qu’ils ont introduit dans un ordi pour voir quel était le mot le plus souvent utilisé… Et ce mot, était « Hiérarchie ».
On peut donc dire que dans les années 60, le mot qui, sans vraiment le définir, pouvait être considéré comme l’expression du capitalisme dans ce qu’il a de plus didactique était donc « Hiérarchie »…
C’est quelque chose que l’on eut comprendre ça, la hiérarchie. C’est la base même de la structure capitaliste, et elle est même je dirais, sa raison d’être. Elle induit même la notion de lutte des classes, puisqu’elle définit forcément des dominants et des dominés. Des patrons et des ouvriers. Des exploiteurs et des exploités.
Ces mêmes chercheurs ont recommencé l’expérience avec des manuels de management des années 2000… Et ils se sont aperçus que le mot « hiérarchie », avait complètement disparu des manuels ! Pas une seule fois ce mot n’était cité !
Et devinez par quoi il avait été remplacé ? Quel était en 2000 ce mot qui revenait le plus souvent dans ces livres ? Je vous le donne en mille… C’était le mot « Projet » !
Pourtant, que je sache, la hiérarchie n’a pas disparue de l’entreprise. Elle est toujours là, avec son cortège de contraintes, ses petites humiliations quotidiennes, ses pressions psychologiques. On pourrait même dire qu’avec la financiarisation de l’économie, la course aux profits qui s’est accélérée, elle est même certainement encore plus présente qu’il y a quarante ans…
Et Franck Lepage d’ajouter que si on ne nomme plus cette hiérarchie, on ne sait alors plus la penser… Et si on ne sait plus la penser, on ne sait plus la combattre.
La hiérarchie, l’ossature du capitalisme n’a pas disparue, elle a juste changé de nom. Elle est devenue quelque chose de vachement plus positif, quelque chose d’imparable, elle est devenue un projet. Elle s’est déguisée en volant un mot et en changeant sa nature optimiste
« Nous estimons que les jeunes doivent avoir des projets. Nous disons de certains jeunes qu’ils n’ont pas de projets. Nous estimons que les pauvres doivent faire des projets ! Les gens le plus en difficulté, pour se projeter dans l’avenir, on leur demande des projets !
Les seuls à qui on ne demande pas de projets, ce sont les riches. »
Ça c’est du Lepage dans le texte… Et il ajoute « Nous estimons qu'il nous faut avoir un « projet de vie ». Manifestement « vivre » ne suffit plus ! »
Aussi vous comprenez pourquoi je suis un peu embêté lorsqu’on me demande de mettre noir sur blanc mon « projet de vie » à moi… Je suis embêté, parce que je n’ai absolument pas envie de me faire avoir par ce mot.
Et pourtant, il va bien falloir que je m’exécute si je veux jouer un minimum le jeu et ne pas perdre mes maigres subsides… Et c’est bien là qu’on voit la perversité du système puisque celui-ci me force à avoir un projet, là maintenant tout de suite, alors que j’aurais volontiers attendu encore un peu avant de me lancer…
Bon allez… Il faut que je m’y mette. Je me disais que le fait de vous raconter cette histoire allait me permettre de trouver l’inspiration, mais je m’aperçois que c’est loin d’être gagné… Très loin même !
Bonjour chez vous !
13 commentaires:
Salut Gwen,
en matière professionnelle, en ce qui me concerne,je ne vois pas d'alternative heureuse à la hiérarchie. C'est certes une violence mais c'est une règle du jeu claire et intangible psychologiquement préférable à bien d'autres modes de fonctionnement. La décision con de ton con de chef qui va à l'encontre de tes conclusions te mets finalement moins en cause qu'une décision majoritaire. L'anarchie donne de meilleurs résultats seulement dans les cas où les équipes peuvent se former d'elles mêmes par affinités, ce qui nécessite déjà pas mal de monde et laisse un "fond de cuve" pas très heureux. Aussi bizarre que cela paraisse je plébiscite donc la hiérarchie dans le travail. L'horreur c'est la merde manageuriale qui essaye de dissimuler ce mécanisme pourtant sain et de nous "impliquer" dans le processus de décision, dans le contrôle de qualité et de nous surexploiter relativement à nos salaires.
En ce qui concerne ton "projet", si tu es rétif à la reconversion productive, la vieille technique qui consiste à choisir avec enthousiasme un domaine que tu aimes bien étudier et dans lequel tu n'as presque aucune chance de bosser tellement le boulot est rare fonctionne encore un peu prés je suppose. Tu veux pas être routeur pour les courses maritimes ;)
Ahhh, pour être un peu tranquille il y avait aussi la vieille technique qui consistait à vouloir monter une entreprise. Mais les règles ont changé pour les salauds de parasites dans mon genre. Pour info tu peux aller voir le site du collectif R.T.O, Résistance au Travail Obligatoire.
@Aslan : J’ai bien conscience de la nécessité d’une hiérarchie, elle est utile dans toute organisation. Moi le premier, j’en ai besoin. Ce qui me dérange c’est qu’elle en devienne l’axe central de l’entreprise… Tu comprends ? C’est utile ok, mais ce n’est pas une raison pour devenir une obsession !
Sinon, je sais que je vais m’en sortir de toute façon… c’est peut-être le côté « obligatoire » de la chose qui me met la pression, mais sinon ça n’a rien d’insurmontable.
C’est marrant que tu me parles de l’entreprenariat, parce que j’ai noté que dans les deux réunions que j’ai déjà eues, on nous a glissé cette possibilité au moins… Quatre ou cinq fois.
Comme ça, mine de rien.
Je n’ai pas besoin de te dire que j’ai souri à chaque fois.
Oublie Lepage un instant : il te fait associer le mot "projet" au "management"... et c'est dommage !
Se projeter, c'est aussi : s'envoyer ! Alors je te souhaite d'avoir un beau projet et de t'envoyer vers un agréable futur ! Bon courage pour demain...
Je n'ai jamais compris la notion de "projet professionnel" dans des situations comme la tienne. Un projet professionnel, cela existe quand on est en entreprise, quand on est "in" comme on disait à une époque.
Bon, sauf que quand on est dans la merde, cela ne sert à rien. Je me souviens, il y a dix ans, quand j'ai galéré pour trouver du boulot, on me parlait déjà de cela. Au bout d'un moment, on laisse tomber ces conneries et on se concentre sur ce qu'on peut gérer : j'envoie quoi qu'il arrive un nombre déterminé de CV par semaine et je fais tous les entretiens.
Etrangement, ce qui finit par tomber c'est les CV auxquels tu ne croies pas et que tu as envoyé simplement pour tenir le quota hebdomadaire. Encore plus étrange, après 10 ans, tu ne t'y trouve toujours pas trop mal.
Bon, projet ou pas projet..on s'y colle !!!
@Thierry : Le projet (au sens le plus large) n’est pas qu’associé au management, mais carrément à la vie sociale toute entière. Quelqu’un qui n’a pas de « projet » est vite catégorisé comme un looser, un parasite, un asocial. Et c’est ça qui me dérange, car je suis persuadé qu’il n’en n’est rien.
@David : Perso, je m’en passerais bien de projet professionnel… Mais c’est le système qui impose d’en avoir un.
@Monique : Ça roule ma poule !
Ah trouver du boulot.... Je suis comme toi Gwendal, et je sens que je vais surement passer les mêmes moments que tu as en ce moment dans peu de temps.
Mais si je peux me permettre, je vais te conter mon histoire perso en essayant d'être assez court et dans un but d'expliquer comme notre système de l'emploi dans ce pays est idiot.
Pour la première fois de ma vie et à l'age de 45 ans je suis au chômage.
Ayant travaillé pendant 16 ans en Angleterre, je suis revenu en France il y a 8 ans. Quand j'ai quitté l'Angleterre, j'avais 3 année derrière moi de développement de logiciel informatique dans une boite.
J'ai une formation BAC+2 en hôtellerie restauration.
Maintenant je cherche à retourner en informatique, mais personne ne veut de moi car je suis autodidacte. J'envoie des CV à la pelle, sans jamais avoir de réponses (on va dire 2% de réponses).
J'ai du me battre au téléphone, pour prendre part à une réunion de recrutement pour une société de formation, car sans diplôme en informatique, pas de pratique en milieu pro depuis 8 ans, et agé de45 ans, je suis d'après leurs mots, un cas difficile. Je suis allé à cette réunion, où il y avait 20 personnes tous travaillant en informatique, ou sortant de BTS informatique l'année précédente. Nous avons fait des test sur le développement informatique, et à l'issue des tests, la meilleure note était de 16.5/20 (les autres allant de 5.5 à 15.25) et c'était celle de celui qui était autodidacte, avait 45 ans, et n'avait pas travaillé en milieu professionnel depuis 8 ans.
Alors, il faudrait que de temps en temps les recruteurs prennent en compte qu'une personne autodidacte, n'est pas moins mauvaise qu'un jeune sortant d'un BTS. Autodidacte veut dire que l'on fait cela parce que cela nous plait, et non pas juste pour l'appât du gain. D'ailleurs, je ne cherche pas à être rémunéré comme un ingénieur, mais que quelqu'un me donne la chance de prouver que je suis bon dans mon travail.
Le marché du travail Anglais n'étant pas aussi sécurisé qu'en France, je ne pense pas que mon employeur 'aurait gardé 3 ans, si j'avais été mauvais à mon boulot.
Enfin, tout cela pour dire que je vais devoir bientôt me mettre à travailler sur mon "projet personnel" aussi....
@Chat de nuit : Edifiante histoire que la tienne. De plus, je suis sûr que tu n’es pas seul dans ce cas là. La solution (pour autant que je puisse être qualifié pour t’en proposer une !) est de mettre en avant justement ton côté autodidacte… Et si ça n’accroche pas avec l’employeur, c’est que celui-ci est un connard décérébré. D’ailleurs c’est ce qu’il faut laisser transparaitre dans ta façon de te présenter.
Quitte à ne pas être pris, je préfère encore que ce soit parce que j’ai fait peur au type, plutôt que de l’être parce qu’il me juge sans me connaitre…
La hiérarchie en soit n'est ni bonne, ni mauvaise, elle représente juste un type d'organisation au sein d'une société. L'anarchie, à l'opposé, est l'absence de hiérachie, mais pas forcément d'organisation.
Une hiérarchie peut être fondée sur le pouvoir divin, les rapports de force, les lignées, les compétences, etc. et sur différentes combinaisons d'organisation du pouvoir et de sa légitimité.
Une hiérachie pyramidale, peut représenter aussi bien le pouvoir dictatorial absolu, comme une démocratie, selon le sens de l'organisation du pouvoir. Du haut vers le bas, ou au contraire du bas vers le haut.
La grand erreur du management est de croire (ou de faire croire) que la compétition interindivuelle crée une émulation qui entraîne un bénéfice.
Or, si bénéfice il y a, il ne peut qu'être à la faveur de certains, et non pour la collectivité, qu'il s'agisse d'une équipe de sport co., d'une entreprise, ou d'une société.
L'erreur est aussi dans le fondement de ce raisonnement. La hiérarchie a pour effet de diminuer la compétition interindividuelle, en organisant le pouvoir entre les individus.
Quand le pouvoir de A sur B repose sur la reconnaissance par B des compétences de A et de la façon dont A exerce ce pouvoir sur B, une société hiérachisée peut être un mode d'organisation tout à fait acceptable pour chacun des individus.
Mais la valeur essentielle d'une société, ce n'est pas la compétition, mais au contraire la coopération. (A + B) > A + B !!
C'est en substance ce que m'a appris l'observation durant quelques années d'une société de macaques... Pour être mâle alpha dans une société de macaques de java, vous devez être à la tête du système d'alliance le plus performant, à savoir avoir l'appui la femelle dominante (la lignée la plus importante parmi les femelles) et de son système d'alliance par les autres familles de femelles, et être soutenus par des mâles qui préfèrent vous soutenir que soutenir vos opposants.
Pour maintenir cette position, la mâle alpha doit donc faire en sorte que ces individus aient davantage de bénéfice à vous soutenir qu'à vous démettre. Car dans un grand groupe, la puissance physique individuelle est loin d'être suffisante.
D'ailleurs, pour des raisons psychobiologiques, c'est la statut qui contribue davantage à l'apparence physique que l'inverse.
Merde, Gwen, t'aurais pas dû me brancher sur la hiérarchie... Après je dévie sur les singes et on m'arrête plus !!
Gwen, pour ma part, un projet n'est ni bon ni mauvais, il peut être bénéfique ou coûteux, fructifiant ou stérile, pour toi ou selon les autres, tout dépend de ce qu'on cherche. Je suis sûr qu'effectivement tu en as plein, alors, fonce... T'as rien à perdre à tenter de concrétiser un projet, et qui sait ???
Simple test.
@Cazo : Passionnant… J’ai bien aimé, et compris, lorsque tu dis : « Or, si bénéfice il y a, il ne peut qu'être à la faveur de certains, et non pour la collectivité, qu'il s'agisse d'une équipe de sport co., d'une entreprise, ou d'une société. »
Tout est la je pense.
Belle démonstration, Cazo !
J'aime bien quand tu nous branches sur les macaques...ça met en perspective à la fois nos comportements et notre organisation.
Allez Gwen, fonce !!!
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