C’est ma copine Cécile (Le Blog de Cécile Delalandre) qui m’a donnée l’idée de ce billet. Elle, elle a ressortit de vieux écrits plein de fougue et de poésie. Moi, comme je n’ai pas son talent, je vous ressors de la vraie musique de dernière mes fagots à moi. Je me suis dit que vous pourriez (peut-être) apprécier.
Alors voici deux vidéos qui représentent chacune le bout d’une histoire d’amour. Mon histoire d’amour. Ma plus grande histoire d’amour.
1985, Marillion est présent dans ma tête et dans mon cœur. Cet album accompagnera ma découverte du Grand Amour. La musique est différente de ce que l'on entend alors, indansable, pleine de surprise. Elle raconte une histoire. C’était au temps bénis des vinyles où les plages n’étaient pas coupées, où l’on pouvait enchainer trente minutes de musique non-stop. C’était l’époque ou l’on pouvait faire l’amour sur une seule face d’un 33 tour… C’était une époque merveilleusement insouciante, entre l’enfance et la vie d’adulte. Une époque faite de sentiments exacerbés, où chaque moment était vécu avec sa pleine totalité. Mes premiers concerts aussi… Dont celui-ci. J’avais 18 ans… Marillion était MON groupe. C’était MA musique. Je me la suis appropriée comme on revendique une signature ou un drapeau…
Alors voici deux vidéos qui représentent chacune le bout d’une histoire d’amour. Mon histoire d’amour. Ma plus grande histoire d’amour.
1985, Marillion est présent dans ma tête et dans mon cœur. Cet album accompagnera ma découverte du Grand Amour. La musique est différente de ce que l'on entend alors, indansable, pleine de surprise. Elle raconte une histoire. C’était au temps bénis des vinyles où les plages n’étaient pas coupées, où l’on pouvait enchainer trente minutes de musique non-stop. C’était l’époque ou l’on pouvait faire l’amour sur une seule face d’un 33 tour… C’était une époque merveilleusement insouciante, entre l’enfance et la vie d’adulte. Une époque faite de sentiments exacerbés, où chaque moment était vécu avec sa pleine totalité. Mes premiers concerts aussi… Dont celui-ci. J’avais 18 ans… Marillion était MON groupe. C’était MA musique. Je me la suis appropriée comme on revendique une signature ou un drapeau…
Six ans plus tard, Elle m’a quitté. Elle est partie et j’ai mal. Là c’est encore Marillion qui accompagne mon blues et rythme ma douleur. Le chanteur (Steve Hogarth) a changé, Steven Rothery a pris de la bouteille mais ses solos de guitare sont toujours aussi prenants (du time-code 2 :30 à 3 :53). La musique toujours comme un trait de crayon sous une phrase importante. Un trait qui vous tire des larmes dix-huit ans plus tard…