Figurez-vous chers lecteurs qu’alors que je commentais ce matin le billet du sieur Nicolas, number ouane de son état, un billet assez bien foutu au demeurant, ne voilà-t-y pas que le bras séculier du taulier me tombe sur le râble.
Deux fois.
La première suite à un commentaire où j’avais l’outrecuidance de qualifier l’espèce de taré psychopathe qui nous gouverne de « gnome »… Pour Nicolas, les attaques sur le physique des personnes porteraient le discrédit sur le combat que nous sommes sensé mener.
Ma réponse à sa mise en garde fut la suivante :
Ça discrédite rien du tout ! Mais si ça te fait plaisir de le penser… Nous dirons donc « personne de petite taille à l’allure repoussante ».
Aussitôt, comme je m’en suis douté à postériori, mon commentaire fut impitoyablement censuré. C’est là le bras séculier auquel je faisais allusion au début.
Entendons-nous bien, que Nicolas me censure c’est bien là son droit le plus strict, et je n’ai rien à dire là-dessus. Il est maître chez lui comme je suis maître chez moi.
Donc, qu’il me censure pour un bon mot, ça le regarde, mais c’est la raison invoquée qui me semble discutable.
En quoi le fait d’utiliser la raillerie pour accompagner une critique rendrait-elle celle-ci moins vraie ou moins utile ?
Là, franchement ça me dépasse…
C’est comme si un député demandait aux futurs gagnants du prix Goncourt de bien vouloir châtier leur langage et d’éviter de critiquer notre beau pays… Ah, merde ! C’est déjà fait.
Alors, sachez chers lecteurs, qu’ici vous aurez le droit de qualifier Nicolas Sarkozy de nain. Vous aurez également le droit de le traiter de facho où de tout autre qualificatif que vous jugerez approprier.
Car en ce qui me concerne, il est hors de question que je montre un quelconque respect pour sa personne, sa fonction, ou pour toute autre engeance qui le sert. Le débat gentillet du temps où j’étais au lycée, le respect dû à la fonction, tout ça, c’est fini. Le respect est quelque chose qui s’acquière et se perd, et tous ces types ont perdu le mien depuis bien longtemps.
Je soupçonne d’ailleurs que ce sont justement les politesses de langage, les guillemets imposés par je ne sais quelle attitude « politiquement correcte » qui font que les choses n’avancent peut-être pas aussi vite dans ce pays… La tiédeur et la pétoche érigée en système de langage ne peuvent que masquer les véritables opinions, et c’est bien à ça que ce blog doit servir. A proclamer son opinion.
Donc allez-y, lâchez-vous. Utilisez les mots que vous voulez pour critiquer et participer à la destruction de cette droite qui vous donne envie de vomir. Ce n’est pas ici qu’on vous en empêchera !
En plus, dernier avantage mais non des moindres, c’est que ça fait du bien !
Deux fois.
La première suite à un commentaire où j’avais l’outrecuidance de qualifier l’espèce de taré psychopathe qui nous gouverne de « gnome »… Pour Nicolas, les attaques sur le physique des personnes porteraient le discrédit sur le combat que nous sommes sensé mener.
Ma réponse à sa mise en garde fut la suivante :
Ça discrédite rien du tout ! Mais si ça te fait plaisir de le penser… Nous dirons donc « personne de petite taille à l’allure repoussante ».
Aussitôt, comme je m’en suis douté à postériori, mon commentaire fut impitoyablement censuré. C’est là le bras séculier auquel je faisais allusion au début.
Entendons-nous bien, que Nicolas me censure c’est bien là son droit le plus strict, et je n’ai rien à dire là-dessus. Il est maître chez lui comme je suis maître chez moi.
Donc, qu’il me censure pour un bon mot, ça le regarde, mais c’est la raison invoquée qui me semble discutable.
En quoi le fait d’utiliser la raillerie pour accompagner une critique rendrait-elle celle-ci moins vraie ou moins utile ?
Là, franchement ça me dépasse…
C’est comme si un député demandait aux futurs gagnants du prix Goncourt de bien vouloir châtier leur langage et d’éviter de critiquer notre beau pays… Ah, merde ! C’est déjà fait.
Alors, sachez chers lecteurs, qu’ici vous aurez le droit de qualifier Nicolas Sarkozy de nain. Vous aurez également le droit de le traiter de facho où de tout autre qualificatif que vous jugerez approprier.
Car en ce qui me concerne, il est hors de question que je montre un quelconque respect pour sa personne, sa fonction, ou pour toute autre engeance qui le sert. Le débat gentillet du temps où j’étais au lycée, le respect dû à la fonction, tout ça, c’est fini. Le respect est quelque chose qui s’acquière et se perd, et tous ces types ont perdu le mien depuis bien longtemps.
Je soupçonne d’ailleurs que ce sont justement les politesses de langage, les guillemets imposés par je ne sais quelle attitude « politiquement correcte » qui font que les choses n’avancent peut-être pas aussi vite dans ce pays… La tiédeur et la pétoche érigée en système de langage ne peuvent que masquer les véritables opinions, et c’est bien à ça que ce blog doit servir. A proclamer son opinion.
Donc allez-y, lâchez-vous. Utilisez les mots que vous voulez pour critiquer et participer à la destruction de cette droite qui vous donne envie de vomir. Ce n’est pas ici qu’on vous en empêchera !
En plus, dernier avantage mais non des moindres, c’est que ça fait du bien !